Messieurs les Ambassadeurs, Monsieur le Président, Mon Général, Mesdames, Messieurs, Chers Amis,
Soyez les bienvenus à ce déjeuner du Chinese Business Club auquel je suis très heureux de vous accueillir.
Pour clôturer les cinquante ans de relations diplomatiques entre la France et la Chine, la ville de Pékin et l’Institut Français, ont fait défiler un Cheval Dragon de 12 mètres de hauteur, crachant du feu et tirant la langue, pour la plus grande joie des Pékinois. Cette collaboration franco-chinoise symbolise la volonté de partenariat entre nos deux pays. Pour illustrer celle-ci, citons quelques exemples :
Alors, faut-il avoir peur des investissements chinois ? Non, n’y voyons pas un pillage de notre patrimoine mais plutôt une aubaine pour nous Français. Les investissements chinois ne représentent encore que 1 % des capitaux étrangers investis en France. Et sur 9 000 sociétés étrangères installées dans notre pays, 250 seulement sont de nationalité chinoise. Du côté français :
La Chine est le deuxième fournisseur de la France mais la France n’arrive qu’en 19ème position des fournisseurs de la Chine. Il y a là un gros potentiel de développement et il est plus que jamais nécessaire de se réunir, d’échanger, de privilégier les contacts susceptibles de nous rapprocher les uns des autres, comme nous le faisons aujourd’hui au Chinese Business Club.
Je ne voudrais pas terminer sans citer la célèbre sentence de Confucius, qui écrit dans ses « Entretiens » :
« Pour l’homme de bien, entre les quatre mers, tous les hommes sont frères ».
Je vous remercie de votre attention et je cède maintenant la parole à Monsieur Hsueh Sheng WANG, Président Directeur Général d’Eurasia, à qui je vais poser plusieurs questions d’actualité.