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Mesdames et Messieurs les Ministres,

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Mesdames et Messieurs les Députés,

Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, 

Mesdames, Messieurs,

 

C’est avec grand plaisir que le Chinese Business Club accueille en invité d’honneur, le Président Directeur Général d’Havas, et Président du Conseil de Surveillance de Vivendi, Yannick Bolloré.

 

Mais avant tout, permettez-moi de souhaiter la bienvenue aux nouvelles sociétés membres : 

Cartes Bancaires, Atlas Transition, Haier, Rosa Unica, Fatri, Olivier Claire, MicroPort CRM

4U Consulting, Accor, Le Lit National, Keyring, Huawei et Cartier. 

 

Monsieur le Président, vous êtes le représentant de la septième génération des Bolloré. Votre famille perpétue une tradition papetière depuis plus d’un siècle. Il faut en effet remonter à 1822, date à laquelle un jeune marin breton, votre ancêtre, découvrit, lors d’un voyage en Chine, le secret de fabrication d’un papier ultra-fin, adopté aussitôt pour les impressions de la Bible, les livres de la collection La Pléiade, le papier à cigarette et les sachets de thé.

 

Revenu en France, ce génial inventeur fonde la Papeterie de l’Odet, du nom du fleuve qui se jette dans l’océan à Bénodet. Très vite, l’affaire se développe avec des ramifications dans le transport, la logistique, la communication et la finance. Le groupe breton se hisse peu à peu parmi les 400 premiers groupes mondiaux, avec plus de 12 milliards de chiffre d’affaire et 42 000 salariés dans le monde.

 

Vous-même, après Dauphine, vous rejoignez le groupe familial pour lancer et développer la division Media qui obtient des résultats exceptionnels.

Et vendu à Canal Plus, Bolloré Media fait du Groupe Bolloré le 1er actionnaire de Vivendi.

 

En 2011, vous prenez la tête du groupe Havas, 6ème groupe mondial de communication avec 2,3 milliards d’euros de chiffre d’affaire et 20 000 collaborateurs.

En 2018, vous devenez Président du Conseil de Surveillance de Vivendi, avec un objectif précis, dites-vous : multiplier les passerelles entre les différents métiers du groupe, stratégie de développement qui devrait s’avérer très prometteuse.

 

Pour conclure, permettez-moi de citer Confucius. Dans ses Entretiens, Confucius dit que

 « Pour faire des affaires, il faut commencer par se faire des amis ». 

J’ajouterais : pour se faire des amis, rien ne vaut le Chinese Business Club !

 

Je vous remercie de votre attention et je cède la parole à Monsieur Yannick Bolloré.